Le tourisme du sexe: le bilan

Aujourd’hui, plus que jamais dans l’histoire de l’humanité, le tourisme su sexe est un marché des plus florissants. Que ce soit en Thaïlande ou en Russie, en Ukraine ou en République tchèque, mais aussi dans certains pays européens, le phénomène s’étend de plus en plus. Au grand plaisir de ces touristes de la chair et des perversités, un grand nombre de pays de l’Europe reçoivent facilement les personnes qui viennent pour du tourisme du sexe. De Dunkerque à Luxembourg, en Espagne et en France, la gangrène est bel et bien là.

Le tourisme du sexe, les réalités

La présence des maisons closes et des établissements de prostitution favorise encore plus le tourisme du sexe, c’est la première réalité. La Jonquera, en Catalogne, à 2 pas de nos frontières, compte l’un des plus importants établissements de ce genre, un vrai paradis pour les amateurs. La Belgique n’est pas en reste avec environ un millier d’établissements de prostitution. L’ancien bloc communiste est également devenu une terre d’accueil pour le tourisme du sexe. Ainsi, les Pays baltes, la Pologne, la Bulgarie font partie de ces pays réputés pour ce type de tourisme suite à la facilitation des déplacements et des tarifs moindres pour les trajets, notamment aériens.

Un monde frappé par le tourisme du sexe

Le tourisme du sexe marche autant en raison de certaines législations qui leur donnent la brèche dans laquelle les prédateurs s’engouffrent à loisir. La proximité, les vols low cost sont autant d’éléments favorisant le tourisme du sexe. L’attractivité de la femme asiatique et de la femme slave sont également des facteurs expliquant l’engouement pour certaines destinations. Malheureusement, les citoyens de ces villes en paient souvent le prix fort: mépris des touristes sexuels, agressions de leur part, non respect des lois et même attaques contre des forces de l’ordre.